Katrina Phelps_The one who..

It’s important you know this about me

Nom : Phelps. Elle le tenait de son père et ne l'aimais guère. C'était chiant à prononcer et elle aurait aimé avoir un nom plus drôle, à la française, style De la Baudinière ou un truc qui sonnait un peu comme ça.
Prénom(s) :Katrina.
Surnom(s) :Kat, Kit-Kat, Ka-sh.. Sa sœur avait une vieille manie, celle de l'appeler Katrin' ce qu'elle haïssait plus que tout.. En revanche, les surnoms les plus originaux lui étaient parfois donnés, ce qui ne lui déplaisait pas : Katrina aimait se démarquer de quelque façon que ce soit.
Age : 19 ans.
Date & lieu de naissance :3 juillet à New York, dans le coin de l’Upper East Side.
Nationalité(s) : Exclusivement New Yorkaise.


But you should know more

- Quelle est la première impression que votre personnage fait sur les personnes qu'il rencontre pour la première fois ?
Lorsque l’on aperçoit Katerina pour la toute première fois, on se dit d’abord qu’elle est très jolie, et on remarque très vite son appartenance à la jeunesse dorée de Manhattan. Ses talons de huit centimètres, son air supérieur et son it-bag ne trompent pas. Pas forcément impressionnante, Katrina est une petite blonde au visage enfantin. Mais détrompez-vous. Il se pourrait bien que la petite bouille d’ange cache un tempérament de feu. Car après quelques paroles échangées avec Katrina, (et je ne parle pas des formules de politesse qui l’emmerdent à mourir comme vous et moi) vous aurez l’impression que la seule chose qu’elle a revendre, c’est de l’énergie. En effet, vous n’aurez pas tort. Vraie boule de nerf, Katrina est hyperactive, surexcitée, bref, elle fait toujours trop de bruit et se fait toujours remarquer. Mais le pire dans tout ça, c’est que le regard des gens sur elle lorsqu’elle est en proie a un fou rire lui est complètement égal. Si il y a une chose qu’elle n’a pas hérité des personnes de son rang, c’est l’angoisse du regard des autres. Les personnes qui aiment s’amuser adhèreront vite à la philosophie de Katrina. Ne pas se prendre la tête, se moquer, dédramatiser.. Voilà quelque chose qu’elle faisait à longueur de journée. Si vous êtes égocentrique et que vous avez un balais coincé ou je pense, n’allez pas vers elle : vous en prendriez pour votre grade. Les gens qui viennent vers elle sont souvent surpris de rencontrer une personne aussi pétillante et pleine d’humour et de répartie. En revanche, si vous croisez Katrina dans ses mauvais jour, elle vous méprisera, alors que la veille vous aviez sympathisé. Kat est une personne très lunatique, et du jour au lendemain, elle peut très bien devenir arrogante et aussi agaçante que ceux qu’elle fréquente. Si la veille, lorsqu’elle vous a croisé, elle vous a dit : « Salut » en souriant, il se peut fortement qu’aujourd’hui, elle ne vous regarde même pas et fasse comme si vous n’aviez jamais existé. Désolée, vous venez de rencontrer la plus tyrannique des petites blondes de la planète.

- Quelle est la qualité que votre personnage apprécie le plus chez les autres ? Chez lui ?
De toute évidence, ce que Katrina aime chez les autres, c’est leur capacité à se lâcher, à faire la fête, à s’amuser. Vivre de blagues et d’eau fraîche suffirait beaucoup à mademoiselle Phelps.
Ce que Kat aime chez elle, c’est sa capacité de persuasion. Quand elle veut quelque chose, elle ne le demande pas, elle l’exige. Capricieuse ? Maternée par une mère trop protectrice qui ne posait aucune limite à ses désirs, Katrina a horreur qu’on lui refuse quelque chose et obtient toujours tout ce qu’elle veut. Maligne et rusée, elle a toujours recours au meilleur moyen de faire céder son adversaire. Au départ, c’était pour une nouvelle chambre tous les mois, des habits de princesse, des talons hauts alors qu’elle n’avait que six ans. Maintenant, c’était avec tout : Voitures, appartements, vacances prolongées, et surtout .. Garçons. Il n’était jamais arrivé à Katrina de ne pas obtenir ce qu’elle voulait dans ce domaine, jusqu’au jour ou sa route croisa celle d’Arthur Williams, cet abrutit qui avait couché avec elle en la prenant pour une fille niaise et facile. Son égo avait été gravement touché, et elle décida dès lors :
1) De se venger de ce connard (même si sans se l’avouer elle s’était légèrement accroché à ce tombeur) et
2) Que ce genre de situation ne se reproduirait plus jamais, ou elle se fera nonne.
Et pour sa défense, cet imbécile ne sait pas ce qu’il rate.

- Quel est le défaut que votre personnage ne supporte pas chez les autres ? Chez lui ?
Il y a beaucoup de choses qui énervent Katrina. Seulement, ça dépendra des jours, du temps qu’il fait dehors, du goût de son café matinal et de tout un tas d’autres facteurs plus débiles les uns que les autres. Lunatique comme pas deux, comme je vous l’ai déjà expliqué, Katrina était aussi quelqu’un de très impulsif et s’énervait pour un rien lorsque l’envie la prenait. Les embouteillages, les gens mous et sans conversation, le fameux « Ahhh ! j’ai plus rien à me mettre », les filles plus jolies qu’elle, les vendeurs de bagels ambulants, ou Chuk Parker, cet naze qui la considérait comme sa bête noire depuis qu’elle avait fait la maladresse de lui renverser un globe terrestre sur la tête …Entre autre, l’hypocrisie la mettait dans une rage folle lorsqu’elle sortait d’une autre bouche que de la sienne. Ainsi, imprévisible et incompréhensible étaient deux termes qui définissaient très bien Katrina. En ce qui concerne le défaut qu’elle n’aimait pas chez elle, elle vous aurait répondu avec malice qu’elle n’a aucun défaut. Je peux quand vous en déceler un : La petite Phelps à toujours été très sure d’elle. Pourquoi est ce un défaut ? Tout simplement parce que sa fierté était parfois un obstacle dans la vie de tous les jours. Impossible d’arriver dernière en sport, elle était très mauvaise joueuse. Quelqu’un avait rigolé en voyant ses nouvelles chaussures ? Elle allait directement lui dire que c’était la dernière collection Dior, que c’était hyper « in » et que c’était pas sa faute si des abrutits comme celui qui avait eu le malheur de rire existait sur cette planète. Katrina ratait beaucoup d’occasions de se faire petite, ou de se faire oublier… Trop grande gueule, c’était souvent celle qui parlait pour les autres, en cours ou ailleurs. Combien d’heures de colle la blondinette avait elle prises pour avoir été insolente ? Elle voulait juste faire valoir son avis, l’injustice l’insupportait. Ce qui te paraît juste ne l’ai pas forcément Katrina…

- Quelle est la relation de votre personnage avec ses parents et les membres de sa famille en générale ?
Katrina est née d’un père architecte reconnu mondialement, et d’une mère qui se disait « artiste » (exposée, elle avait du mérite mais Katrina n’avait jamais compris pourquoi). Si son père n’avait jamais été là, sa mère, avec son travail qui lui laissait beaucoup de temps libre lui permit de s’occuper de ses filles et de faire leur éducation de A à Z. Bien sur aidée par une nourrice qui avait toujours été respectée et aimée par Katrina qui l’avait tout de suite considérée comme sa seconde mère. Sa sœur âgée 27 ans était mariée et était devenue une mère couveuse : Le genre de fille de 27 ans que Katrina méprisait profondément. Elle ne la voyait jamais, car celle ci avait décidée de s’installer en banlieue avec son petit mari parfait pour éduquer leurs enfants à l’air moins pollué.
Quant aux relations avec son père, Kat avait toujours eu du mal. Il voyagait trop, était absent, ne l’avait jamais câlinée, aimée, choyée comme il aurait du : l’enfant, puis l’adolescente lui en avait toujours voulu. D’autant plus que en bon père absent, il pensait combler ce manque par des cadeaux, des bijoux de luxe… Ainsi, lorsqu’elle voit son père, elle à l’impression de voir un étranger, ce qui ne la blessait plus maintenant, car elle avait mûri. Elle ne pouvait pas nier avoir eu une enfance heureuse quand même sans catastrophe et grand traumatisme. Elle n’avait jamais tenté de se rebeller, pensant passer « au dessus de ça ». En vérité, elle respectait quand même ceux qui l’avaient éduqué.

- Quelle vision du bonheur à votre personnage ?
Katrina s’en rend bien compte. Elle vit déjà dans le bonheur. Ne manquant de rien et ne se lassant pas de sa vie, comme certains de ses compagnons, elle savait se poser des limites ce qui lui donnait l’impression de maîtriser chaque centimètre de sa vie. Kat avait toujours pensé que si elle ne transgressait pas les limites qu’elle s’était fixées pour elle même, elle vivrait heureuse. Pour l’instant c’était le cas. Si jamais ca n’allait pas, elle allait parler à Lily Trump, qui avait été sa confidente officielle dès qu’elle l’avait vue dans les couloirs de Waverly. Kat se savait entourée et épaulée par ses amis et sa famille, ce qui comptait beaucoup pour son équilibre. En première année à Waverly, elle ne connaissait pas grand monde. Mais cela lui était égal, des amis, elle en avait déjà, et si personne ne voulait d’elle, ce ne la dérangerait pas (de toute façon, ce n’était pas près d’arriver). Elle avait aussi des manières plus modernes de se détendre et de se sentir bien : se défouler, le sport était une grande passion pour Katrina depuis toujours et après une apres midi à courir, l’épuisement du corps de Kat était la plus belle récompense et lui rendait le sourire. Dépasser ses limites, relever des défis, c’était très important pour elle. Lorsqu’elle déprimait un peu, elle allait faire les boutiques, puis passait chez le coiffeur et enfin allait se faire masser, comme toutes les filles normales du XXIe siècle.

- Quels sont les objets, personnes, magasins... choses en tout genre donc, dont votre personnage ne pourrait se passer ?
Katrina aimait bien partir à l’aventure. Son caractère aimait le goût du risque s’il ne la mettait pas totalement en danger. Simplement une envie de changement, de neuf, d’inconnu. Ainsi, elle était connue dans plusieurs boutiques de la Ve mais n’en avait pas de préférée. Encore une fois, cela dépendait de beaucoup de choses. Katrina n’aimait pas non plus les relations fusionnelles : le stéréotype de la meilleure amie pour la vie ne lui avait jamais vraiment plut. Elle préférait sa liberté, tout en conservant bien sur, plusieurs bons amis à ses côtés, ayant chacun un rôle défini (confidente, conseiller, accompagnatrice shopping, l’amie drôle et un peu folle comme elle .. etc). Ce qui plaisait à Katrina, c’est que comme ça, elle ne se lassait jamais et allait d’un l’un à l’autre si jamais elle saturait du deuxième ou n’avait plus rien a dire au premier). Pas superstitieuse pour un sou, Kat n’avait pas d’objet fétiches. En revanche, elle adorait garder des mots, des lettres ou des textos qui l’avaient touchée, enivrée, ou qui lui rappelaient de bons souvenirs.

- Quelles sont les manies, les particularités physiques ou morales de votre personnage ?
Katrina est une jolie blonde au physique enfantin. Il est clair que ce aspect femme-enfant la suivait depuis qu'elle avait l'age de porté un soutient gorge de bonnet B. Elle aimait jouer de cet atout car elle n'était pas vraiment une femme fatale. Cepandant, elle avait le regard malicieux et taquineur, ce qui en disait déja long sur son caractère. Elle avait beaucoup de grâce et d’élégance, qui était apparue grâce à la danse classique, qu’elle avait pratiqué pendant quelques années. Ce qu'elle affectionnait particulièrement, c’était son sourire, qui lui permettait de mettre n'importe qui dans sa poche, et çà en un rien de temps. Tout paraissait raffiné et délicat chez Katrina, ses longues mains, fines comme celles d'un pianiste. Elle a du charisme et de la prestance, lorsqu’elle entrait dans une pièce, elle ne passait évidemment pas inaperçue (le contraire l’aurait fortement vexée). Kat aimait prendre soin d'elle, c'est pourquoi elle a toujours eu ce grain de peau parfaitement lisse et doux. Les gens qui n'ont pas les cheveux parfaitement propres ou qui sont sujets à la saleté (quelqu'en soit sa forme ..) sont directement bannis de l'entourage de Katrina. Nous pouvons aussi noter que son corps parfaitement bien dessiné en envoûte plus d'un : l'élancement de sa silhouette, le galbe de ses jambes, tout semblait avoir été commandé sur mesure. Côté caractère, je vous ai déjà fait part de beaucoup d’aspect de la jeune fille. Impulsive, grande gueule, colérique, imbue d’elle même, catégorique, autoritaire, drôle, spontanée, pétillante, lunatique.

Re-Bienvenuuuue

Rebienvenuuuue =)

Merfi Merfi

SUITE


And about my life in Waverly

- Votre personnage est actuellement en quelle année ?
Première année.

- Quelles sont les raisons de la présence de votre personnage à Waverly ?
A l'age de 18 ans, après avoir eu sa dernière année de "College", Kat décidait de s'orienter à la Waverly Academy, contre le gré de son père. Indifférente à son avis, elle avait décidé d’y entrer sur un coup de tête : en voyant que l’Académie y enseignait le théâtre, elle avait craqué pour cette université. C'était un des seuls moyens qu'elle avait d'extérioriser toute son énergie de façon positive. Elle aimait cette sensation de pouvoir se transformer en une toute autre personne d'un claquement de doigt. Elle adorait l’idée de faire rêver les spectateurs ... Un pouvoir non négligable que Katrina avait toujours adoré posséder. Et puis cela faisait un petit bout de temps que sa mère la gonflait pour qu’elle choisisse sa voie, alors elle n’avait pas pris le temps de réfléchir très longtemps. Au moins, maintenant, on lui fichait la paix.

- Votre personnage s’y plait-il ?
Etant en première année, Katrina ne connaît pas encore grand monde. Certes elle a fait quelques rencontres, des bonnes comme des mauvaises. Mais elle ne s’avouait pas encore vaincue. Martyrisant des personnes comme Evey Francis avec son amie Alison, elle adorait faire régner sa loi mais elle se rendait bien compte que cela n’allait peut être pas exactement comme elle l’avait prévu. Cela risquait forcément de la mettre en colère, mais bon, c’est pas parce qu’on s’apelle Katrina qu’on a tous les droits. Pas vraiment impressionnée par les troisième ou quatrième années, elle comptait bien tisser des liens avec eux. Elle aurait aimé connaître un peu tout le monde, histoire de ne pas forcément rester avec les premières années, qui ne connaissait rien à Waverly tout comme elle : elle aurait préféré qu’on lui raconte les ragots et les potins de l’université pour qu’elle puisse déjà se mettre dans le bain, mais malheureusement elle n’avait pas eu l’occasion d’avoir une discussion sérieuse avec l’un d’entre eux.

- Quel est lieu de l’academy que votre personnage préfère ? Pourquoi ?
Le lieu que Katrina préfère est la salle de costume, qui se rattache à la salle de théâtre. Elle était passionnée de théâtre depuis qu'elle avait l'âge de marcher. Elle lisait beaucoup, adorait se rendre au théâtre pour voir les plus grands comédiens se glisser dans la peau des personnages des dramaturges les plus célèbres. Mais ce qu'elle aimait plus encore, c'était se retrouver elle même devant une assemblée, communément appelée public, pour masquer sa personnalité et devenir quelqu'un d'autre. Ne plus avoir des réactions semblables aux siennes, ne plus répondre de soi... Voila ce qu'aimait Katrina dans le théâtre : Cette sensation d'avoir le pouvoir de tout changer en un claquement de doigt. La fierté qu'elle ressentait au moment du salut, tous ses applaudissements qui félicitaient son talent. Par chance, (ou pas) Katrina avait toujours eu des rôles déterminants dans les pièces qu'elle avait interprétées. Dans la salle aux costumes, il y avait des milliers de couleurs, tant de matières différentes, et tout cet attirail lui rappelait énormément de souvenirs.

We want a piece of you

Avatar :Emma WATSON
Votre prénom/pseudo :Anas
Sexe : Question piège... Féminin !
Impression sur le forum, qualités, défauts, ce qu’il faudrait améliorer… :Des trucs à améliorer ? Vous préparez le guinness des records ou quoi ? Nan je le trouve parfait
Autre chose à ajouter ? Oui :

Re-Validée

Re-Merfi

Au début j'ai eu légerement peur parce que quand j'ai voulu poster on m'a dit que c'était trop long ! Panique a bord devant mon ordinateur (a)

Ouai bah le forum est nuuuul (a) ta preso est parfaite