Une nouvelle année à Waverly

- Putinc’estpasvraiça.


Le corps athlétique arborant un bronzage caramélisé parfait de Sean était étalé de tout son long en travers de l’immense lit de la suite tout aussi démesurément grande du jeune homme, la tête entre deux coussins, le beau brun venait de murmurer une phrase imperceptible de sa voix endormie suivit d’un soupir d’agacement. On était Dimanche bordel, le dernier jour où il pouvait faire la grasse matinée & ainsi récupérer des fêtes trop arrosés qui n’avaient cesser de s’enchaîner durant ces dernières vacances d’été. Alors pourquoi est-ce que le réveil venait de sonner au juste ?! Hum. Peut-être parce que l’on était non pas Dimanche mais bel et bien déjà Lundi et qu’il serait plus que temps de bouger tes adorables petites fesses de quaterback musclées et de te lever ? Donnant un coup rageur contre l’appareil afin que celui-ci cesse ce bruit strident et complètement infernal, Sean se releva légèrement et s’étira en baillant ce qui eut pour effet de lui donner un air de félin absolument craquant xD afin de voir les chiffres lumineux rouges qui indiquaient 7h pile. Il finit par se lever à contrecoeur & après avoir manqué de tomber en se prenant les pieds dans son jean qui traînait sur le sol il alla prendre une douche brûlante dans l’espoir que celle-ci le sorte de son état semi comateux & comme d’habitude, transforma la salle de bain en véritable sauna. Une chose était sûre : il n’était pas du matin. Mais le vibrement de son portable sur la table de chevet eut pour effet de le réanimer instantanément –comme s’il venait de se faire électrocuté genre x)- lorsqu’il lut le sms envoyé par une certaine Olivia. -I wait for you baby- . Il s’empressa de s’habiller et ne fit même pas attention à sa barbe de deux jours qu’il avait continuellement et à ses cheveux en bataille dont il ne se souciait carrément pas étant donné que ces signes de négligence voulus lui donnaient un air sexy comme pas permis. Néanmoins, avant de s’installer dans la voiture où son chauffeur l’attendait depuis une bonne demi-heure déjà sans broncher, il prit le temps de passer au Starbucks’ afin de prendre deux-café-à-emporter-merci pour lui et Olivia, car, oui, chaque petite intention comptait & il était bien décidé à le montrer à sa petite amie. Oulah. Mais où est passé notre jeune insensible et égoïste Murdock qui ne pensait qu’à lui ? Il semblerait qu’il ait bien changé durant ces vacances et ce n’était pas peu dire. En réalité, la cause de ce changement était –bien sur on s’en doute- une fille. Mais pas n’importe laquelle. Il s’agissait d’Olivia Sanders alias celle qui le faisait littéralement fondre. Les filles avaient cet incroyable don de transformer le pire des enfoirés-machos en véritable petit-ami-modèle-désolé-les-filles-mon-cœur-est-pris. Et évidemment, Sean n’avait pas échappé à la règle, sans même s’en rendre compte il était devenu si adorable et attentionné envers la jeune Sanders que s’en était navrant pour les autres filles qui avaient dût se résoudre à arrêter –d’essayer- de le draguer . Le fait est qu’ensemble, ils formaient un couple réellement sublime et il était évident que les autres les enviaient & les jalousaient comme pas possible. Ils avaient passé un mois de Juillet tout simplement fantastique sur une île paradisiaque à bronzer au soleil, s’embrasser, boire des cocktails multicolores, faire la fête, s’embrasser à nouveau & surtout profiter du merveilleux lit (a) de la chambre de l’hôtel somptueux où ils séjournaient. Ayant ensuite décidé qu’ils passeraient le mois d’Août chacun de leur côté, cela faisait donc un mois exactement –leur plus longue séparation depuis qu’ils étaient ensemble soit dit-en passant- qu’ils ne s’étaient plus vu. Et c’est donc beaucoup moins fatigué qu’il y a quelques minutes et largement plus enthousiaste que notre beau brun arriva en bas du luxueux appartement des Sanders et accueillit la belle, qui se jeta dans ses bras, avec un sourire rayonnant. C’est beau l’amour. Hum, si elle savait ce qu’il avait fait durant ce mois d’Août, il est fort possible que celle-ci ne trouve pas que ce soit si beau que ça (a). Sean l’embrassa tout en l’enlaçant avant de lui ouvrir la porte comme un parfait gentleman . Le chemin qui menait à l’Académie n’était pas long & en quelques minutes ils arrivèrent devant l’établissement. Sean adressa un sourire placide au chauffeur qui aurait tout aussi bien pût signifier magne-ton-cul-allez, celui-ci s’affairait tant bien que mal avec ses valises & son nouveau Synthé’ qui avait coûté une petite fortune & qu’il s’était offert étant donné qu’il prenait très au sérieux l’idée de Rick quant à monter un groupe de musique. Le jeune Murdock glissa un billet dans sa main & alla rejoindre Olivia.

- On y va ?

Et c’est donc souriant, main dans la main, amoureux & comblés que notre petit couple dégoulinant de perfection franchit la porte en fer forgé de la Waverly Academy donnant sur le hall où grouillait déjà un nombre impressionnant d’élèves et… D’œufs écrasés sur le sol. C’était quoi c’bordel ?! Au milieu se trouvaient des ados’ pré pubères –les nouveaux élèves évidemment- attachés et formant un cercle quant aux autres –principalement les 3emes années- il paraissaient se donner a cœur joie dans le lancer d’oeufs. Il semblait que ce qui était censé être un bizutage avait quelque peu dérapé. Sean avait l’impression d’être tombé en pleine fin du Monde genre le Chaos peuplé de sauvages xD.. Et lorsqu’il aperçut Chuck passer avec son sourire goguenard passablement énervant, son bras passa inconsciemment autour de la taille de sa petite amie en un geste mêlant affection & protection. Mais un sourire étira ses lèvres quand il vit Kaytlin courir dans leur direction. Il s’était entiché de la petite lorsque, l’an dernier, elle s’était retrouvée coincé dans les escaliers du Manoir & qu’il l’avait gentiment sortit de là. La deuxième année devait mesurer à peine 1mètre10 les bras levés (a) c’est donc sans mal que Sean l’attrapa par les hanches & la souleva du sol pour la poser devant lui afin que celle-ci capte pleinement son attention.

- Eh petite’, tu comptais venir me souhaiter la bienvenue quand ? – Sean lui adressa un sourire amusé & regarda à nouveau le spectacle déplorable qui s’offrait à ses yeux- Dis-moi, qu’est-ce qui s’passe ici ?

Roh, shit! Une nouvelle année. L'année précédente manque déjà à la jolie Lindsay Stevens. Effectivement, les vacances devaient se passer merveilleusement bien en Californie mais au lieu de sa ce fut un désastre, elle perdit son petit Scofield d'amour qui céda à la tentation avec cette pimbêche de Kelly. Oh mon dieu, faut même pas qu'elle croise Lindz car sa sera crêpage de chignon! Elle qui voulait passer de merveilleuses vacances sur les plages Californiennes à dorer, s'amuser avec Ugo & sa meilleure amie ainsi que faire du shopping et acheter encore 167953... de paires de chaussures. Loupé! Elle resta durant toutes -enfin presque- les vacances enfermée dans sa chambre à écouter de la musique -plus déprimante tu meurs- et à pleurer comme une madeleine. Ma pauvre petite... pas de chance hein! Bref évidemment elle ne se bougea pas le popotin pour sortir, on venait directement la voir dans sa chambre... On? Oui enfin sa meilleure amie et les domestiques puisque son cher papa et sa chère maman se faisaient des papouilles à Hawaii, bande de cons. Lindz cessa même la nourriture, bon au début elle disait juste qu'elle voulait mourir de faim et elle resta allonger durant des jours sans manger et en portant sa paire de Manolo préférée -autant crever avec ses chaussures fétiches-, mais sa ne réussit pas puisque Chanel la força trois jours plus tard à manger. Et quand Chanel se met en colère elle est comme Lindsay, c'est une vrai furie alors il faut mieux l'écouter... Puis finalement Lindsay calma un peu sa déprime: Elle décolla de sa chambre pour aller jusque dans le salon! Nan mais c'est un gros effort sérieusement! Bon bien sûr elle prenait une douche tous les jours car elle déteste être sale et puer mais sinon elle modéra de plus en plus la nourriture, ne trouvant plus l'appétit. Et pour le peu qu'elle mangeait, elle se faisait vomir. Puis finalement elle décida de quitter un peu son grand appartement de New-York pour aller la fête, rah elle n'aurait pas du puisqu'elle finissa bourrée, dans un état pitoyable et on dut l'amener même aux urgences car elle fit un malaise. La descente aux enfers commence peu à peu. Elle prend soin d'elle en apparence, se faisait jolie pour le peu qu'elle sortait mais elle ne se préoccupait pas du tout de sa santé. Et dire qu'elle trouvait les pro-ana complètement idiotes et délurées, elle en fait partie à présent -sans s'en rendre bien compte-. Bref les vacances de Lindz ne furent donc pas les meilleurs. C'est pendant les derniers jours qu'elle s'activa pour faire les courses, le shopping ainsi que l'esthéticienne, la manucure, le coiffeur etc... La brunette s'était bien trop négligée et son teint était aussi blanc qu'un cachet d'aspirine, elle fit donc des UV et mis en oeuvre un mensonge pour lorsqu'elle retrouvera les autres à l'académie. Elle dira qu'elle est allée en Californie, qu'elle s'est éclatée tout l'été et sans même penser une seule fois à Ugo -ce qui est carrément faux-. Bref une bonne image d'elle quoi. Rah c'est Chanel qui l'a poussée à s'activer et à trouver quelque chose car elle aurait raté la rentrée sinon. Heureusement qu'elles sont voisines car miss Stevens a coupé son portable tout l'été enfin... Alors qu'elle relisait des textos de Scofield, elle envoya valser le téléphone contre le mur en hurlant une injure telle que "Enfoiré!". Bref elle récupéra sa carte SIM parmi les milles morceaux et elle s'acheta un nouveau portable pile avant la rentrée pour ne pas avoir l'air d'une SPF -Bah oui, sans portable fixe bande d'incultes!-.

DRING DRING DRING.. #PAF#
Après le téléphone, le réveil. Dommage c'était un joli réveil Hello Kitty. Hé oui "c'était" car à cause de sa sonnerie trop stridente, Lindz lui apprit à voler et à s'éclater contre un mur. C'est la rentrée et il faut vraiment qu'elle cache sa mauvaise humeur habituelle depuis deux mois. Elle agrippa l'un de ses nombreux coussins, enfoui sa tête dedans et cria de toutes ses forces. Tant pis si ses parents dorment! Puis quelques minutes plus tard, elle entendit quelqu'un rentrer dans sa chambre, étant certaine que c'est sa mère elle agrippa un coussin bien moelleux et lui balança dessus en marmonnant un "Dégage!" les yeux toujours fermés. Puis elle entendit un grognement, une autre voix très familière et elle reçu le coussin en pleine face à son tour. Elle le retira en soupirant et ouvrit les yeux: sa meilleure amie nommée Chanel Anders se trouve à côté de son lit et conseilla à Lindsay de bouger son beau petit cul avant qu'elle ne la fasse tomber du lit! La petite brune s'activa donc et se leva avec beaucoup de difficulté. Elle s'étira, bailla puis regarda Chanel repartir chez elle. N'est ce pas amusant d'être meilleures amies depuis toujours et d'être voisines ? En tout cas les parents Stevens et les parents Anders se sont habitués à toujours voir débarquer l'une chez l'autre sans frapper et même encore en pyjama. Bref passons les détails, Lindsay traversa son appartement extrêmement luxueux pour ensuite aller chez Chanel. Elle salua les parents Anders -non étonnés de la voir débarquer- un grand sourire aux lèvres et rentra dans la chambre de sa meilleure amie, elle commença à lui taper la causette en lui disant qu'aujourd'hui elle sera de bonne humeur et ne déprimera pas, puis elle se mit à fouiller dans le dressing de Chanel -sans demander la permission évidemment-, prit une veste beige d'un tailleur singé Oscar De La renta, puis lui embarqua un tee-shirt simple Agnès B blanc, une petit jupe blanche et des escarpins Manolo blancs vernis. Elle esquissa un grand sourire à l'attention de sa best et repartit chez elle prendre sa douche et sa préparer. Elle laissa ses longs cheveux bouclés retomber en cascade sur ses épaules et une fois prête elle tenta de dire au revoir à ses parents mais ceux ci semblent plonger dans un sommeil profond, elle décida de ne pas s'éterniser à les réveiller et partit donc avec Chanel en taxi en direction de la Waverly Academy.

Et voilà, nous y sommes. Une nouvelle année qui débute dans cette majestueuse école accueillant les anciens et évidemment les nouveaux. Finalement, Lindz a vraiment hâte de voir comment va se dérouler cette nouvelle année et même si elle est toujours triste, elle se montre très enthousiaste et souriante à l'idée de revoir tous ses amis. Enfin tout le monde quoi puisqu'elle s'entend vraiment bien avec les autres élèves -sauf cette pimbêche de Kelly Emerson-. Lorsque les deux filles pénétrèrent dans l'académie, elles entendirent des cris, des rires. Holala on dirait bien que le fameux bizutage à commencé! Lindz se rendit à l'accueil pour aller chercher les clés et le numéro de la chambre où elle serait en collocation avec miss Anders et deux autres filles. Elle paya le taxi et lui donna un pourboire pour qu'il monte toutes leurs valises dans leur chambre. C'est toute radieuse qu'elle prit sa meilleure amie par le bras et qu'elle dit:

- Roh si tu savais comme je suis heureuse!

Puis elle se dirigea dans le hall avec celle-ci. Une bataille générale! Voilà ce qu'est devenu le bizutage. Elle commença à dire bonjour à Faith, Beth, Chuck, Helena, Kiki et d'autres mais elle n'échappa aux oeufs et en reçut un en plein sur la veste Oscar De La Renta! Elle regarda sa meilleure amie, esquissa une grimace qui voulait dire: "Désolé!" puis elle ôta ses escarpins à talons hauts, les déposa dans un coin, piqua quelques provisions et prit part à la bataille, éclatée de rire. Elle croisa alors Brooke qui mitrailla Faith. Lindz passa devant la capitaine des Pompom girls, lui fit la bise tout en lui écrasant un oeuf dessus et elle lui adressa un clin d'oeil amicale avant de dire:

- Alors Capitaine, prête à accueillir des bleus dans l'équipe ?

Se découvrant d’un geste vif, Aaron ouvrit péniblement les yeux tandis que la lumière du jour pénétrait si facilement dans sa chambre. En effet, les rideaux –fermés- laissaient passer un mince filet de soleil suffisant pour éclairer la pièce. Etrange. Mais la journée qui se prévoyait n’était ni banale ni habituelle, il fallait donc commencer cette matinée de façon particulière, et quel meilleur moyen pour cela que se réveiller tôt alors qu’un rayon lumineux vous balaye le visage… Lève-tôt de nature, Aaron n’eut aucun mal à poser le pied au sol. Il avait l’habitude chaque matin de partir faire un tour dans le parc en jogging et de revenir une demi-heure plus tard, en pleine forme. Et il ne dérogerait pas à la règle ce matin. Non, ce matin n’avait rien de si spécial, enfin rien qui lui ferait changer ses vieilles habitudes. Se dirigeant vers sa salle de bain, le jeune homme ne prit guère la peine de porter son regard à son réveil sachant parfaitement qu’il était à l’heure. Il l’était toujours. Lorsqu’il pénétra dans cette plus petite pièce, qui était tout de même très grande pour une salle de bain, Aaron s’approcha de la baignoire où il se fit couler de l’eau après avoir réglé la température. Non pas qu’il soit difficile, mais une température moyenne était parfaite pour lui ; ainsi il pouvait commencer la journée par un bain dans une eau tempérée. Se plongeant à l’intérieur, aussitôt que l’eau eut terminée de couler, Aaron profita de ces secondes comme si elles étaient les dernières. Lentement, il produit des gestes qui devenaient automatiques depuis le temps. Attraper le shampoing, le reposer, prendre le gel douche, le reposer. Puis, il s’extrait de la baignoire, attrapa une serviette au passage et se rendit dans sa chambre, à nouveau.

Ouvrant son armoire, il en sortit un jean bleu légèrement délavé ainsi qu’une chemise blanche parfaite pour cette rentrée. Les déposants sur son lit, il prit ensuite un jogging et un tee-shirt qu’il mit aussitôt. Il était prêt. Il partit alors pour le parc et l’on n’entendit plus parler d’Aaron pendant quarante cinq minutes. Et voila, une heure après, Aaron était de retour chez lui, l’homme plus joviale qu’’elle ne le fut jamais. Retournant maintenant dans sa salle de bain mais cette fois dans sa douche, il regarda sa montre et remarqua avec plaisir qu’il était à l’heure. Dans les temps. Parfait. Une fois cette nouvelle douche prise, il mit ses vêtements et se considéra un instant. Le miroir placé devant lui, Aaron réajusta sa chemise et replaça ses cheveux. Prêt. Sortant de chez lui après avoir pris deux-trois affaires, le jeune homme monta dans sa voiture cabriolet et démarra. Waverly, Aaron arrive. Le voila.

Lorsque le haut et grand bâtiment se dévoila devant ses yeux, Aaron ne put réprimer un fière sourire heureux de son visage. Légèrement émerveillé, il se gara et avança lentement vers l’intérieur. Par la suite, les évènements se succédèrent à une vitesse folle. Il n’eut pas le temps de les comprendre, de les cerner. Non. Ils se déroulaient juste, ils passaient. Quelques minutes suffirent à plusieurs anciens élèves pour poser Aaron au sol, les yeux bandés, les mains dans le dos. Ils ne comprenaient pas, mais ils savaient tout de même : Bizutage.

<< Qu'est que c'est que ce bordel ? >>, arquant les sourcils comme il pouvait sous son bandeau, Aaron soupira longuement.

L'année commençait bien.

Nikkie avait été métamorphosé par son été de retour en Californie : elle était devenue une jeune femme classe, douce et respectable. La bonne blague. En réalité, elle avait passé la moitié de l'été à osciller entre virées shopping, virées en boîtes de nuit à se trémousser sur les tables, virées à la plage histoire d'exhiber son corps parfait et presque naturel (a)... Bref, une vie de riche Californienne vulgaire super normale. Par contre, la belle blonde avait passé l'autre moitié de son été à ruminer contre un dénommé Enzo Archibald qu'elle avait maudit plus que tout suite à une certaine émission de télé. Evidemment, elle ne regardait jamais les infos, c'était bien trop ennuyeux, elle avait simplement zappé par hasard et y avait découvert un homme HYPER sexy et son fils qu'elle ne connaissait que trop bien. L'infâme salaud ! Evidemment il devait payer. Nikkie l'avait littéralement incendié au téléphone et avait décreté qu'il serait privé de sexe pour une durée indeterminée plus ou moins longue selon son humeur - comme si elle parviendrait à se retenir très longtemps. Bref, cette frustration avait fait grandir en elle de grandes ambitions politiques et Nikkie avait donc fermé son site de vente de poupée pour se consacrer à sa future carrière de politicienne aussi sexy que douée - on y croit. Voilà pourquoi la jolie blonde avait rapidement pardonner à son petit sucre d'orge (a) à la condition qu'il lui présente sur le champ son père ! Pour l'occasion, Nikkie avait contacté un styliste célèbre ami de son père dont on taira le nom pour ne pas ruiner sa carrière fulgurante afin qu'il lui confectionne des tas et des tas de tailleurs. Bien sûr, il fallait qu'ils soient faits pour elle donc forcément la longueur de la jupe est quasi inexistante, mais le fait est là: fini la vulgarité. Enfin, pas vraiment. Disons simplement que pour la première fois de sa vie, la jeune Baxter porte des vestes xD C'est d'ailleurs dans un charmant tailleur Chanel à la jupe plutôt courte et coiffée d'un brushing parfait à la Jackie Kennedy que Nikkie fit son apparition, avant de saluer de la main ses camarades de classe, dans la débâcle ambiante. Oui, elle prenait son rôle très à coeur. Et encore plus une fois qu'elle eut repéré son rondoudou. Courant perchée sur ses stilettos, Nikkie bouscoula un élève de première année qui venait de jurer en employant le mot 'bordel', chose que déplorait son démocrate de futur mari. HUM, je veux dire, futur beau-père. Arrivant enfin aux côtés d'Enzo, Nikkie lui attrapa le bras, tout sourire, et ne l'embrassa même pas, se contentant de lui poser la question fatidique qui allait déterminer l'avenir de leur relation. Non, vous n'y êtes pas du tout, Nikkie ne comptait pas du tout le quitter, et Enzo serait bien mal avisé de le faire, mais simplement elle allait lui rendre la vie impossible si il n'avait pas fait ce qu'elle lui avait demandé:

- Salut mon trésor ! Tu as passé de bonnes vacances j'espère ? MON DIEU, ça vient de moi où les élèves sont de plus en plus perturbés ? Ca diffuse réellement une très mauvaise image de notre très chère Amérique, c'est dé-plo-rable. Dis, est-ce que tu as convenu avec Mr Archibald d'un rendez-vous ? Tu sais qu'il n'y a rien qui me ferait plus plaisir ? Enfin, une demande en mariage mis à part, évidemment.

Un bruit d'escarpin retentit dans les couloirs des dortoirs de Waverly. Tout le monde était dans le hall, à "célébrer" comme il se doit la rentrée. Kimberlay, elle, était là, seule à écouter sa musique et à faire les cent pas dans les chambrées de l'internat. A ses oreilles, deux écouteurs passaient en boucle la chanson "Crocodile tears" du groupe anglais Girls Aloud, la jeune femme allait arriver à son moment favori, lors du solo de Nicola, lorsque la tête de Kimba' se mit en route. Pourquoi rester seule à déprimer lorsqu'elle pourrait aller briser des personnes? Ni une, ni deux, la rouquine se précipita dans son armoire et enfila une tenue digne des plus grandes. Tout d'abord, la jeune femme enfila une parure de lingerie Agent Provocateur en satin violet, comprenant une soutien gorge pigeonnant, une culotte, un porte jartelle et enfin des bas en soie blanche. Par dessus cette parure de luxe, la jeune femme enfila une robe façon trench, grise, très courte, dévoilant à certains moments la lingerie coquine de la belle rousse. A ces pieds fin, Kimba' chaussaune paire de Manolo noires, à talons de quinze centimètres. Pour finir, Kimberlay fixa un serre tête noir dans sa longue cheveulure de feu, histoire de la dompter un peu, pf comme si on pouvait dompter un chat sauvage...

D'un pas saccadé, Kimba se dirigea vers le hall de Waverly, ou était atrouppés ces espéces de chameaux qui étaient à l'origine de sa réputation de psychopate de reine des glaces. Tout en marchant rapidement vers l'endroit cité plus haut, la rouquine pensa à son été. La mère de Kimberlay n'avait pas pu se libérer pour venir la chercher, la jeune femme dut donc passer toutes ses vacances à Waverly. Deux mois seule, sans occupation, boutiques, ou magazines. Bon, pour se consoler, cette dernière avait ses produits de beauté, mais qu'est ce que la beauté lorsque l'on a pas l'amour? Non, je rigole, la beauté fait tout, l'amour c'est pour faire fantasmer la ménagére de plus de cinquante ans, lui faire croire qu'elle a encore une chance de ses sortir de son enfer, ah ah.
Bref, la jolie rousse arriva enfin dans le hall. D'un oeil vif, elle scruta l'horizon et aperçut un de ses plus grands amis, Enzo. Un sourire sadique s'afficha vers le salaud ayant réveler la liaison qu'il entretenait avec Kimba. D'un pas rapide et aérien la belle se dirigea vers ce cheeeeeeeeer Enzo. Rapidement, la belle rouquine envoya valser la greluche blonde avec un coup de Manolo au cul. D'une voix sensuelle mais à vous donner des frissons dans le dos, elle dit, à son oreille:

"Je suis ton pire cauchemar... Alors, toujours secoué mon grand... Chut, ne dis rien, je n'en ai pas fini avec toi, du moins pas pour l'instant..."

La belle allait continuer son monologue lorsqu'elle aperçut l'impensable, le couple nian nian de l'année: Olivia la catin brésilienne et Sean le tout petit au kiki plus que rikiki. L'occasion n'allait pas se représenter, elle se dirigea vers les deux amants et envoya un baiser à Enzo, pour lui montrer qu'elle n'en avait surtout pas fini avec lui. Une fois arrivée au niveau du cheesy couple, la belle dit, d'une voix cassante comme du verre:

"Tiens Oliv' d'amour, tu m'as pas appellée cette été, peu importe. J'adoooooore tes nouvelles lèvres mais tu veux un conseil, arrêtes le collagéne tu ressemble à cette poufiasse de Pamela Anderson. Remarque lorsqu'on est une lacheuse doublée d'une hypocrite on a qu'une seule envie: ressembler à Pamela." La belle fixa maintenant Sean "Oh Sean! T'as grandi non? Ah non. Dis moi mon chouchou la prochaine fois que tu veux te taper une fille autre qu'Olivia, fais le discrétement, bon tout le monde sait que cette dernière est coque jusqu'à la raie mais tout de même." Enfin, elle passa à Sara "Ah, c'est toi la nouvelle faire valoir d'olivia, fais gaffe dans deux mois elle te demandera de l'aider dans son bar à strip tease."

Non , Sean n’était pas mort –au grand soulagement d’Olivia bien évidemment- puisque à peine venait-elle de se poser la question qu’elle sentie le jeune homme lui attraper doucement la main puis l’entraîner vers le hall de la prestigieuse académie avec son habituel sourire qui faisait toujours aussi ridiculement fondre la jeune héritière . Un sourire tout aussi ridiculement heureux s’afficha sur les lèvres parfaites , sourire qu’elle affichait la plus part de son –précieux- temps depuis qu’elle était en couple avec Sean Murdock , autre élève de Waverly en même année que la jeune Sanders. Cela pouvait sembler étrange lorsqu’on connaissait la sublissime brune. Pourquoi ? Tout simplement car s’il existait quelqu’un qui ne supportait pas l’idée même d’être en couple et plus particulièrement tout ce que cela impliquait à savoir fidélité, prises de têtes et à tas d’autres choses chiantes à mourir c’était bien Miss Sanders. Mais l’expression ‘ Il n’y a que les imbéciles qui ne changeant pas d’avis ’ prend désormais tout son sens puisque Olivia était aujourd’hui en couple et heureuse, deux caractéristiques qui selon elle, du moins selon elle quelques mois plus tôt, n’allaient absolument pas ensemble. Vous vous doutez alors pleinement que ce brusque changement n’ait pas apparut un beau matin alors qu’Olivia daignait ouvrir ses incroyables yeux bleus lagons pour ensuite illuminer le monde de sa si délicieuse personne mais plutôt grâce à une personne ayant assez d’influence auprès d’Olivia pour la faire changer aussi facilement d’opinion vis à vis des couples et de ce qu’ils représentaient. Cette personne n’était autre que le jeune homme cité ci-dessus – à savoir Sean pour les personnes qui n’auraient définitivement pas assez d’intelligence pour comprendre de qui il s’agit- dont Olivia était éperdument amoureuse elle devait l’avouer et autant vous dire qu’accepter cela lui avait pris du temps. En effet Olivia considérait l’amour comme une faiblesse, la plus grande sans aucuns doutes des faiblesses humaines, et c’était parfaitement compréhensible. Apres tout l’amour rendait dépend, confiant ou suspicieux, incertain, pouvait chambouler, détruire, faire pleurer… Une grand nombre de sentiments qu’Olivia ne désirait certainement pas ressentir et encore moins montrer ce qui n’arrivera jamais puisque la jeune femme ne faisait au grand jamais étalage de ses sentiments, principe numéro un de sa très chère mère et un des seuls que la jeune Olivia respectait encore. Tient, en parlant de sa mère on pouvait aussi comprendre la répugnance qu’avait Olivia vis à vis de l’amour en s’intéressant un peu à ce qui s’était passé dans sa propre famille. Le couple qu’avait formé ses parents dans leur jeunesse était tout ce qu’il y avait de plus amoureux et mielleux. Les premières années de leur mariage avaient était absolument fabuleuses et les jeunes mariés nageaient dans le bonheur. Bonheur qui s’était peu à peu transformer en horreur, l’amour avait laissé place à la haine. La jalousie et la suspicion s’étaient installées entre les époux jusqu’à ce que chaque sujet devienne un motif de dispute, chaque dispute devienne de plus en plus violente. Il était absolument certain que la petite Olivia alors âgées de six ans avait vécu avec difficulté cette période et que celle-ci eut des répercussions sur sa présente façon de penser. La situation actuelle de ses parents, l’un s’étant marié par obligation à une actrice limite pré-pubère plus ingénue tu meures et l’autre ayant limite virée folle ne pouvant survivre sans sa dose hebdomadaire de calmants et autres médicaments pour les nerfs adorant jouer la pseudo-mécène de jeunes peintres et autres sculpteurs européens à qui elle ne se contentait pas d’acheter les œuvres, et celle des autres membres de son illustre famille -que nous ne préciserons pas parce qu’avouons le dans cette famille –presque- entièrement emplie de dégénéré que la merveilleuse héritière méprisait purement et simplement seule Olivia nous importait vraiment- n’avaient pas joué en faveur de l’amour aux yeux divins de la jeune Sanders. Mais cela n’avait pas d’importance, Olivia avait décidé de prendre des risques du coté de ses sentiments pour les beaux yeux de Sean, quoiqu’elle ne prenait pas réellement de risques puisque le jeune homme était aussi fou d’elle qu’elle ne l’était de lui.

Ok, Olivia avait changé de ce coté là mais ne vous en faites pas mise à part cela la jeune Sanders n’avait pas changé d’un pouce et était toujours ce qu’elle avait toujours était à savoir tout aussi divine que cruelle, que manipulatrice et classe et ceux qui s’attendaient à ce que notre héritière préférée devienne genre adorable et mielleuse allaient être plus que déçus. Sachant cela, la réaction qu’elle eut, en découvrant le hall de Waverly où régnait un chaos inimaginable genre bataille de nourriture dans la cafétéria d’un collège de second zone, ne surpris personne. Olivia fronça donc un de ses sourcils à la courbe parfaite affichant une moue de mépris en contemplant ses ‘ camardes’ . Non pas qu’elle plaigne un temps soit peu les premiers années assis par terre tremblants tellement de peur qu’Olivia n’aurait pas été étonné en voyant que l’un deux s’évanouisse mais l’attitude des autres élèves à savoir se balancer des œufs était incontestablement le summum du pathétique. Il était clair que si un seul de ses œufs ou la moindre goût de mousse à raser venaient s’écraser sur sa robe de soie italienne Cynthia Steff à imprimé Renaissance, le crétin responsable se souviendrait que plus jamais il ne devait s’amuser avec des œufs en sa présence. En balayant la pièce du regard Olivia se mit presque à regretter de ne pas être rester à Los Angeles, l’idolâtrie de sa ‘belle mère’ , le harcèlement d’acteurs médiocres et de toutes un tas de métier liés au monde cinématographie et le fait de devenir une super star après avoir jouer dans l’un des films de son père n’étaient peut-être pas pire que de revenir à Waverly et d’y retrouver ces élèves tous plus pathétiques les uns que les autres. Elle poussa un soupire passablement agacée puis posa son regard d’acier sur la blondinette que Sean venait d’intercepter lorsque une autre des personnes qui allaient rendre la vie à Waverly moins insupportable surgit à ses cotés : Sara Furen. Depuis qu’Olivia était entrée à l’académie celle-ci n’avait jamais vraiment fait attention à Sara qu’elle trouvait plutôt insipide et sans la classe indéniable et le charisme impressionnant qu’elle possédait mais vers la fin de l’année dernière alors qu’elle avait pris ses distances avec Stella et Kimberlay, ces deux mégères aigries pathétiquement jalouses du bonheur d’Olivia, l’héritière Roederer avait dut travailler sur un exposé dont elle ne se souvenait même plus le thème avec pour binôme Sara. C’est alors qu’Olivia s’était rendue compte que Sara méritait son attention ce qui avouons le était carrément rare et la jeune Furen s’était vue la chance d’être propulsée de personne-insignifiante-à-Waverly à personne-carrement-indispensable-à-la-vie-de-l’académie. Bon ok, il se trouvait qu’Olivia avait désespéramment besoin d’une amie digne d’elle puisque celles qu’elle considérait comme telle n’arrivaient même pas à contenir leur jalousie maladive à son égard et Sara bien que moins impressionnante et implacable qu’Olivia se montrait tout aussi cruelle et méchante que le jeune Sanders aimait l’être. Bref, Olivia adressa donc un sourire complice à la superbe rousse, couleur qui rivaliser avec celle de Kimberlay et répondit d’un ton malicieux.

Rien de bien important. Te connaissant cela ne devrait pas tarder…

Un clin d’œil ponctua la fin de sa phrase. En effet, Olivia savait l’intention qu’avait Sara de briser le couple de cette-deuxième-année-qui-devait-avoir-accouché-d’un-bébé-aussi-hideux-qu’elle et de ce-quatrième-année-qui-peut etre-pouvait-grace-à-ses-genes-embellir-ce-pauvre-enfant. Olivia n’était pas au courant que les deux élèves s’étaient mariés puisqu’elle s’en fichait totalement mais que sa nouvelle amie brise leur mariage ne la dérangera pas le moins du monde. C’est alors qu’une voix cassante se fit entendre derrière son dos, une voix qu’Olivia connaissait –malheureusement- trop bien cracha son habituel venin telle la mégère aigrie et envieuse qu’elle était sur la parfaite personne qu’était Olivia ainsi que sur Sean et Sara. Olivia se retourna les yeux pétillants –elle adorait les conflits-, un sourire ravie absolument hypocrite accroché à ses divines lèvres évidemment cent pour cent naturelle.

Oh Kimberlay chérie, je suis sur que tu comprendras mon absence d’appels, m’entendre te dire que je m’éclatais alors que tu restais ici comme la mal-aimée que tu es n’était pas franchement une de mes priorités. De plus j’ai toujours penser que tu devais arrêter de prendre ton cas pour une généralité, certaines personnes dont je fais incontestablement partie n’ont pas besoin de passer sous le billard pour être divine. Un sourire méprisant aux lèvres la jeune Sanders détailla le corps de son adorable meilleurs amie et reprit d’un ton qui n’avait plus rien de ravie-hypocrite mais tout aussi cassant que celui de Kimberley. .Manifestement tu n’en fais pas partie D’ailleurs tu devrais rapidement reprendre contacte avec ton chirurgien, un de tes seins commence à piquer du nez. Demande donc à ce cher Enzo dont tu es si proche qu’il te donne celui de sa petite amie en espérant qu’il soit meilleurs que celui que tu as actuellement. En ce qui concerne les strip-teases, tu en es une experte...

Pour appuyer ce qu'elle venait de dire Olivia posa son regard sur la robe de Kimberlay qui laissait ouvertement voir les sous vêtements digne d’une strip-teaseuse que celle-ci portée telle la catin qu’elle était.

Poucelina ? C’était nouveau ça ! Kaitlyn avait une infinité de surnom tous plus ridicules les uns que les autres et presque tous liée a sa petite taille. Mais m*rde a la fin, ne dit on pas « Tout ce qui est petit est mignon » Okay, j’imagine bien que ce surnom a dut être inventer par un nain plus petit qu’une Hobbit mais quand même ! La blondinette surprise pour une fois qu’on ne l’a pas appelé passe-partout écouta sa sœur. Sa sœur voulait bouder ? WOUAW, quelle surprise. Bizarrement cette réplique n’étonna personne et il n’y eut aucune remarque. On put juste admirer Kiki levait les yeux au ciel et pousser un petit soupir. Dans le genre « Causse toujours, tu m’intéresse » difficile de faire mieux. En effet, Kiki était la championne a ce jeu la. Elle avait une facilité à ignorer les gens et à leur faire croire que leurs avis l’importé peu. Bha attentez, ce n’est pas venu comme ça non plus. Vingt ans d’entrenement. Avec une sœur aussi affreuse que Faith, il fallait être solide du point de vue psychologique (a). Kaitlyn ne faisait que lui rendre la monnaie de sa pièce et n’écoutez jamais ce qu’elle vous dira, elle essaye de vous berner. Kaitlyn se rappela parfaitement du jour ou sa sœur était entrée dans l’Amphi théâtre complètement nu lors d’un rassemblement d’élèves. AH AH AH AH AH, la blondinette s’en souviendrait jusqu'à sa mort. Quel moment fabuleux, inoubliable, exquis, amusant et ridiculisant pour sa pauvre sœur. Limite méchante la Kiki ? PAS DU TOUT, juste un peu trop farceuse (Comme le stroumpf). Kiki pouffa de rire en entendant la monstrueuse bêtise de sa grande sœur. Au moins, pas de doute pour la connerie, ce n’était pas génétique. Normal, Faith avait été adopté. Kaitlyn lui disait souvent lorsqu’elles étaient jeunes. Elle lui repetait inlassablement que ces parents l’avaient trouvé dans une poubelle, qu’ils ne voulaient pas d’elle et qu’en fait, elle était la fille de Pamela Anderson (humiliant n’est-ce pas ?). NON, Kaitlyn n’avait pas couché avec Mr Owen. Elle l’avait juste embrassé et encore, c’était rien, elle ne se souvenait même pas avoir effleuré ses lèvres. Puis de toute façon, ce n’était même pas voulu. Kiki n’avait pas fait expret mince ! Elle n’était pas dans son état normal, combien de fois devras-t-elle encore le répéter ? Remarque avec sa sœur l’andouille qui ne possédait que le quart d’un demi cerveau, elle pouvait le répéter jusqu'à demain si elle en avait envie, elle ne le comprendrait pas. C’était comme ça, la première enfant avait été bercé trop près du mur, la seconde avait eut beaucoup plus de chance de se coté la puisque les parents était un peu plus expérimenté. Or, elle ne glissait pas non plus des bras…Comme c’était arrivé à Faith. Kaitlyn se demandait parfois si Faith avait toute sa tête mais sérieusement. Avec toutes les gamelles a peine enfant, c’était quand même possible que …Enfin vous voyez ?!

" Je n’ai pas couché avec Mr. Owen. Tu ne vois pas que c’est une rumeur espèce de pauvre ignarde ! Puis de toute façon, je me fiche de ce que tu peux pensé espèce de sale garce. Tu n’es qu’une garce doublée d’une ringarde profonde imbaisable. Ca va comme ça ?! "

Kaitlyn était un ange et elle jugea que de ne pas répondre a sa sœur était la meilleurs des solution étant donné qu’elle était bornée tout comme elle. Si Kiki n’était pas un ange, elle ne serait –par exemple- par venue réveiller sa grande sœur se matin. Voulez vous savoir ce qu’elle avait récolté en échange. « Dégages Kiki » et a trois reprises. Dieu que le monde et cruel ! La blondinette ne pouvant néanmoins pas s’empêcher de parler répliqua sur un ton qui se voulait calme mais en fait elle avait là, la voix d’une enfant en train de taper sa crise :

" Nan mais tu rigoles ! Arrêtes Faith tu m’agaces ! Je sens que…que…Raaaaahhh, tu m’énerves ! "

Kaitlyn était en train de criser ça y est. Elle se crispa alors elle poussa son fameux cri « Raaaah » dont elle seule avait le secret. Bon vous connaissez la suite pour l’enveloppe, tout s’enchaîna très vite. Seulement, Faith-j’ai-les-yeux-posés-de-partout-sauf-ou-il-faut remarqua ce qu’avait fait Kiki. Kaitlyn l’écouta lui murmurer des choses a l’oreille (rien de pervers évidemment) et se retint d’envoyer valser sa sœur. Elle n’était vraiment pas futée, une mauvaise détective, c’était clair ! Faut dire, Kiki avait ça dans le sang. Plus jeune, elle espionner déjà sa sœur lorsqu’un soit disant camarade de classe venait au domicile faire un exposé. Kiki les avait vu a plusieurs reprise de becoter et…tout faire a par un exposer mais bref, c’est la jeunesse et Kiki depuis jeune savait comment s’y prendre pour découvrir mystère en tout genre. En revanche, sa sœur n’était pas bien forte dans ce domaine. Bha oui c’est ça la classe, on la ou on l’a pas et vraisemblablement, Faith ne l’avait pas ! Elle l’écouta néanmoins et alors qu’elle passait une main dans ses cheveux pour découvrir son doux visage et avoir l’air tout a fait normale, elle répliqua en chuchotant :

" Règle numéro 1. Ne jamais parler de cette façon a une personne qui vient d’opérer. Même si sa reste relativement bien fait et que personne n’y a vu que du feu, les chuchotements, sa attire l’attention. Oui je te dirais tout et ne me parle plus jamais d’Owen si tu ne veux pas que je t’arraches les cheveux un à un a ma belle ! Capich ?! "

Au même moment que Faith disait a sa sœur de pas trop de faire remarquer et qu’elle lui fit un petit discours du pourquoi et du comment. Genre on a le droit de s’amuser, Kaitlyn vit Lindsay entrer dans la Hall en compagnie de Chanel. Elle avait fait sa rencontre l’année dernière et elle trouvait cette fille extrenement ….rigolote. Elle l’aimait bien et sa copine Chanel c’était a peu près pareil. Elle était adorable. Kiki sourit sans même s’en rendre compte. Elle se tourna pour parler à sa sœur mais celle-ci avait disparut. Déjà !! Kaitlyn ne tarda pas a retrouver en plein milieu de la scène qui venait de se déclancher. C’était partit, bataille d’œufs et tout le monde y avait le droit. Kiki les regarda d’un air choqué. En temps normal, elle aurait volontiers participé à cette batail mais bon, des œufs…Des ŒUFS ! C’était sa phobie ! Elle détestait tout ça. Dans son esprit, tout était tellement beurk. Bizarre mais le blanc pour elle représentait l’ovule et le jaune ne spermatozoïde du coq. Tout visqueux tout…BEUH. La blondinette afficha une mine de dégoût lorsqu’elle entendit un jeune homme de première année poser une question… Le pauvre avait les yeux bandés. Ca devait être légèrement angoissant. Elle s’abaissa pour lui enlever son bandeau et prit une voix douche pour ne pas trop l’effrayer

" Tiens, regarde par toi-même ! J’aurais put te laisser le bandeau pour t’épargner ce spectacle mais en fait…Enfin, ta posé la question quoi. Bref, tu m’excuseras mais il faut que j’y aille ! JE DETESTE LES ŒUFS ! "

En moins de deux la blondinette s’éclipsa sans plus attendre. Elle partit le plus vite qu’elle le put de la scène de combat. Les enfants raté des volailles volé (bha ils volent quand même, pas tant raté que ça..) dans tout les sens et c’était pas très amusant pour elle. Kaitlyn partit tellement vite que sans même sans rendre compte, elle courrait (oui elle fuyait). Kiki qui ne regardait pas vraiment ou elle aller sentit soudainement ses pieds décollé le sol. « Haaaaaaaaan JACK, JE VOLE ! ». Euh nan, raté ! C’était Sean qui venait de la faire décoller du sol pour la poser devant lui. Cela deviendrait il une fâcheuse habitude de la soulever a chaque fois ? Kiki ne put s’empêcher de rire bêtement en voyant son sauveur, son super man a elle quoi. Lui, il pouvait se moquer de sa teille, même si elle le reprenait, elle l’adorait quand même. Il lui avait évité de passer la nuit, la jambe coincé dans les vieux escaliers du manoir. En plus kiki était une vrai flipette, donc je vous laisse imaginer. Elle le regarda avec son fameux sourire colgate blancheur (dédicace Vanesse <3) et répondit joyeusement !

" BIENVENUE ! " Kiki serra fort dans ses bras Sean qui ne devait sûrement pas s’y attendre. Elle remarqua au même moment le regard d’Olivia mais n’y prêta pas attention parce que si elle commençait à le faire, elles n’étaient pas sorties de l’auberge. Puis bon, elle pouvait comprendre qu’elle soit jalouse d’elle quoi ! Même si il n’y avait aucune ambiguïté entre Sean et elle. Ah lala, Jealousy, jealousy, jealousyyyyyy. Hum, bref, ne nous égarons pas. Kaitlyn poursuivit ! " Disons que là, j’essayais d’éviter tous ces œufs. C’est parti en sucette mais alors complètement. Tu veux savoir ce qu’il c’est passé ? Bha en fait c’est un bizutage. Il ont attrapé les premières années et les ont mis au centre assis, les yeux bandés et bâillonner. Puis ça a dérivé en bataille générale ! "

Kaitlyn entendit Sara dire des choses affreuses et elle ne voulut même pas poser son regard sur elle. Elle avait bien reconnus sa voix. Elle savait qui elle était pour avoir bien trop remarqué son jeu l’année dernière. Elle essayait de briser une couple, c’était pathétique. Elle regarda Sean et s’apprêta à lui demander s’il avait passé de bonnes vacances mais malheureusement, elle n’en eut pas le temps. En effet, Voila qu’une troisième garce venait de faire irruption, elle n’était autre que Kimberlay Sutherland. Kaitlyn cligna des yeux en la regarda littéralement mettre son ex meilleur amie Olivia dix pieds sous terre. La tendance s’inversa bien rapidement et Kaitlyn eut peur que cela par a coup de Manolos dans l’œil, de crêpages de chignons, de bonne grosse gifles. Le monde des filles, quel monde impitoyable ! La troisième guerre mondiale était elle déclaré ?! Kiki se mit à chuchoter à l’adresse de Sean.

" Je parie sur ta copine, elle a l’air bien agressive et exitée dit moi. Elle a mangé un Lion se matin ? "

Loin de là l’envie d’être méchante. Kiki voyait plutôt les choses avec humour disons !

Sean se faisait chier, sérieusement. Passé les 5 premières minutes de l’euphorie de retrouver tout les p’tits cons de Waverly –d’ailleurs, où était Nate ? (a)- il en avait déjà marre. Voir des ados’ trop immatures pour comprendre que se lancer des œufs était plus que pitoyable n’était pas follement excitant. Il n’avait qu’une putin d’envie : se casser d’ici. Il s’apprêtait à demander à Olivia où était sa nouvelle chambre –oui, pour se reposer un peu xD.- lorsqu’une certaine Sara’ fit son apparition et s’exclama d’une voix enthousiaste qu’elle adooorait voir des petits pleurer. La jeune femme était tellement contente d’être le nouveau larbin d’Olivia qu’elle arborait un sourire idiot genre « j’y crois pas je suis l’amie d’Olivia Sanders j’vais m’faire pipi dessus tellement je suis heureuse » Sean lui accorda à peine un regard, néanmoins c’était toujours mieux que les deux autres pimbêches de l‘an dernier. Bon ben, pour la chambre faudra repasser…Heureusement il avait alors aperçut Kaytlin et l’avait obligé à s’arrêter dans sa course folle puis lui avait demandé les raisons de ce pseudo cataclysme. Pour tout réponse la petite blondinette lui avait hurlé un « Bienvenue » bien sonore et s’était jeté dans ses bras de toute la force dont elle était capable ce qui eu pour effet de faire rire Sean qui déposa un bisou sur sa joue en lui rendant son étreinte –beaucoup moins fort évidemment, la tuer n’était pas son but. Un sourire illuminait son visage : il était content de voir qu’elle n’avait pas changer. Même si Sean n’allait pas se mettre à dire à tout l’Monde que Kiki était comme sa petite sœur genre –ce qu’il trouvais carrément pathétique. De plus cela voudrait dire que Faith serait aussi sa sœur et ça, il n’y survivrait pas- Néanmoins il devait avouer qu’il avait complètement craqué pour l’adorable bouille d’ange de son amie et était tout simplement incapable de lui refuser quoi que se soit.

- Tu m’as manqué Minimoys’. -Oui, encore un surnom x)- Ca t’dit de…

Il s’apprêtait à lui proposer d’aller manger un truc parce que putin il crevait d’faim & qu’Olivia était en grande discussion avec l’autre. Lorsqu’une voix désagréable retentit dans leur dos, ils se retournèrent à l’unisson et se retrouvèrent face à… -Oh non pourquoi n’avait elle pas eut a bonne idée de se tuer pendant ces vacances ?- Kimberlay, j’ai nommé la pire des poufs. La pauvre fille n’avais plus aucun amis –en avait-elle seulement eu un jour ?- et il s’avérait qu’elle représentait un grave syndrome maladif irecurable qu’était le manque affectif : celle-ci enviait même la plus pathétique des élèves boursières qui devaient bosser H24 et dormait à peine pour espérer arriver à gagner assez d’argent afin de payer ses frais de scolarité. Il ne fallait donc pas s’étonner qu’elle soit tombée complètement jalouse de Sean. La rouquine n’avait tellement pas supporté de perdre sa « meilleure amie » qu’elle semblait ne plus vouloir s’arrêter d’harceler Sean, profitant de toutes les occasions possibles pour le rabaisser -ce qui d’ailleurs lui passait bien au dessus & ne le touchait pas le moins du Monde car cela ne faisait que prouver sa jalousie & son immense désespoir d’être seule. Sérieux, y pouvait-il quelque chose si elle était mal-baisée ? Il faut croire que oui.

Sean eut un sourire amusé lorsqu’il remarqua l’expression de surprise sur le visage de son amie qui, vraisemblablement, venait d’être choquée d’abord par les propos de Sara -aka la nouvelle bouche trou à ‘Liv- Ainsi que par le petit échange de propos bien sympathique entre sa petite amie et la pire des SSA (Salope-Sans-Amis). Au contraire, le beau brun, lui, n’avait émis aucun signe d’étonnement scandalisé ou quoi que ce soit. Le fait est qu’il avait pratiquement grandit avec Olivia, il l’a connaissait depuis son adolescence étant donné que leurs parents se côtoyaient lors de galas et dîners mondains en tout genre, inutile donc de préciser qu’il était plus qu’habitué à son caractère méprisant qui dépassait parfois la limite du supportable ainsi qu’à ses répliques cinglantes qui remballaient quiconque avait osé lui adresser la parole alors qu’elle n’avait daigné lui en donner la permission. Evidemment, Sean était le seul à qui la jolie brune ne s’autorisait pas à lancer de piques venimeuses. Ou plus, si l’on prenait en compte que peu avant qu’ils ne s’aperçoivent qu’ils étaient dingues l’un de l’autre la jeune Sanders lui avait tout simplement fait vivre un enfer mais on pouvait considérer que Sean avait sa part de responsabilités étant donné qu’il était resté impassible à la moindre de ses provocations pour ne pas lui montrer qu’il ressentait bien plus que de l’amitié pour elle de peur que ce ne soit pas réciproque, cette manière de se protéger avait rendu folle de rage son amie qui ne supportait tout bonnement pas de ne pas être le centre de tout ses rêves & intentions, du moins, c’est ce qu’elle croyait . Et ce n’est que lorsqu’il lui avait avoué ses sentiments que le cercle vicieux s’était rompu. Bref. Mis à part leur petit jeu ‘je t’aime, moi non plus’ qui avait duré au cours de l’an dernier, Sean ne se prenait jamais la tête mais alors pour rien du tout. Lorsqu’il avait un différent avec un autre mec il réglait ça franchement avec leurs poings, face à face, comme des hommes, des vrais. Quand avec Rick & Nate, il leur arrivait de peter un câble de temps en temps parce que l’un deux avait oublié les bières ou choisit un dvd porno qu’ils avaient déjà vu (a), mais c’est tout. Alors pourquoi est-ce que les filles se sentent obligées de sans cesse se foutre sur la gueule? Et Dieu sait ce que les filles sont chiantes lorsqu’elles sont énervées. Putin Sean était un mec bordel pourquoi devrait-il supporter ça xD ? Les disputes entre nanas merci c’était bien gentil mais non merci. Et bien que de ne pas prendre la défense de la femme de sa vie n’était peut-être pas au goût de la belle, il préférait de loin admirer le spectacle et la suite des événements dirons-nous. Parce que oui, il fallait avouer que lorsqu’Olivia était en colère ou de mauvaise humeur - C'est-à-dire presque tout le temps (a)- elle était carrément sexy.Malheureusement il ne put s’attarder plus longtemps sur l’incroyable regard bleu électrique plus-envoutant-tu-meurs de son adorable petite amie car il sentit quelque chose tirer sur son polo à manches courtes noir & blanc siglé de l’insigne Ralph Lauren. Il se retint de donner un grand coup de coude à cette « chose » et bien lui en prit : il s’agissait de Kaytlin (a) qui voulait lui confier quelque chose mais qui n’arrivait pas à l’atteindre même sur la pointe des pieds. Notre adorable Sean se pencha alors légèrement et son sourire s’agrandit d’avantage à l’entente de la réflexion de son amie sur l’état d’excitation & d’agressivité dont faisait preuve Olivia. Et encore… Tu l’a jamais vu au lit (a). Euh oui bon, Sean garda cette réflexion pour lui, se rappelant à temps que c’était à Kaitlyn qu’il parlait et non pas à Rick xD. Il se contenta d’hocher la tête pour approuver ce qu’elle venait de dire et lui fit un clin d’œil mais ils furent à nouveau interrompus par Kimberlay. Elle s’la fermait jamais ?

Kim : Oh Sean! T'as grandi non? Ah non. Dis moi mon chouchou la prochaine fois que tu veux te taper une fille autre qu'Olivia, fais le discrètement, bon tout le monde sait que cette dernière est coque jusqu'à la raie mais tout de même.

Heeeeeeeein ?! Comment cette pétasse était-elle au courant de sa « petite erreur » des vacances ?!.
Le beau brun se sentit déglutir avec difficulté. Non, rassurez-vous, Sean n’était pas en train de regarder bêtement Kimberlay, la bouche grande ouverte comme s’il n’arrivait plus à respirer et cherchait de l’air, un air horrifié figeant son sourire comme s’il agonisait genre. Au contraire. Il avait gardé ce visage impassible qui avait le don d’énerver toute personne qui s’était mis en tête de le faire chier, ne laissant entrevoir qu’un mince sourire au coin de ses lèvres. Bien joué Kim, bien joué. Bien que son visage soit resté parfaitement serein il n’en était pas de même pour sa conscience. Il ne se rappelait même plus qu’elle avait été à cette fameuse fête, cette soirée où il avait commis l’acte irréparable de tromper Olivia. En réalité, il ne se souvenait de rien, ou si peu, tout était flou, il avait trop bu évidemment & ce n’est que le lendemain lorsqu’il s’était réveillé nu comme un ver auprès d’une jolie blonde qui ne ressemblait en rien à Olivia Sanders qu’il avait compris que sa vie serait tout bonnement fini si sa petite amie venait à apprendre la nouvelle. Kimberlay ne pouvait pas être au courant, c’était impossible, personne n’était au courant mis à part Rick –Oui, son meilleur ami qui ne le balancerait jamais ça va de soi-. Bordel, il détestait que le doute s’infiltre comme ça en lui. Pour toute réponse il passa ses bras autour de la taille de ‘Liv, son torse épousant parfaitement la forme de son dos légèrement cambrée et adressa un grand sourire a Kimberlay. Quoi qu’elle dise, il était évident que sa petite amie ne la croirait pas, pourquoi accorderait-elle une quelconque valeur aux propos d’une garce sans cœur ? Et ce n’est non pas à Kim que s’adressa notre beau brun mais à Olivia, à qui il murmura –assez fort pour que la SSA l’entende aussi évidemment- sur un ton faussement détaché.

- Il semblerait qu’y en ait une qui ne supporte pas la solitude…

La jolie rouquine leva les yeux au ciel face à la tirade plus que pathétique de son ex meilleure amie, Olivia. A vrai dire, cela ne la touchait même pas, comme on dit: mieux vaut être seule qu'en mauvaise compagnie. Mais au fond d'elle, Kimba souffrait de ne pas avoir vu ses parents, même si elle n'était pas proche d'eux. Imaginez, passer deux mois dans un internat, seule, à penser à ses ex amies en train de se dorer la pillule aux Maldives ou dans un autre endroit chaud. De plus, la jeune femme s'était récemment engoufrée dans l'enfer d'un régime très pauvre en calorie et entriérement constitué de salade verte et de inaigrette alegée. Bon, Kimberlay a toujours eu une morphologie à la limite de la maigreur, mais ces derniers temps, c'était pire: ses os ressortaients de toutes parts et ses bras étaient presqu'aussi fins qu'un crayon à papier. Pourtant, la rouquine maigrichonne ne cherchait pas à cacher sa maigreur, bien au contraire, elle l'exhibait. C'est pour cela qu'elle lacha un léger éclat de rire lorsqu'elle entendit Olivia aka la reine des strip taseuse lui reprocher la forme de sa poitrine. D'un geste vif, elle repoussa sa cheveulure de feu derrière son épaule et dit, tout en gardant ce ton cassant:

"Manifestement, tu ne sais ce que c'est que d'avoir des parents qui travaillent ma chère. Ma mère, le Top Model Twiggy était en pleine négaciation pour m'obtenir une place de juge dans l'émission "America's Next Top Model" et mon père, lui, est en plein pourparler pour ouvrir une chaîne de restaurant à mon nom." La belle marqua une pause et reprit "Quant à mes seins, ne t'en fais pas pour eux. Certes je n'ai pas tes "attributs" mais au moins je peux me permettre de porter un débardeur Juicy Couture sans soutif' sans me demander si mes seins ressemblent à deux boulettes de viandes ayant dépassées la date de péremption."

La grande rousse lança un sourrie satisfait avant de poser ses yeux sur Sean. Pour Kimba', Sean incarnait tout ce qu'elle detestait chez l'homme. En effet, ce dernier était égacentrique, menteur, trompeur et surtout, il prenait Olivia pour une parfaite idiote. Kimberlay ne voulait pas l'avouer, mais elle se faisait un san d'encre pour son ex meilleure amie, elle était sûre que son connard de petit copain allait lui briser le coeur. Remarque, cela ne la regardait plus. La rouquine souffla lorsqu'elle entendit la remarque gratuite de ce cher Sean, qu'il était pathétique. C'est à ce moment que débarqua Stella, la seule amie restant de Kim'. Elle lui adressa un énorme sourrie voulant tout dire, elle savait que cette dernière comprendrait le fond de la pensée de Kimberlay. D'une voix triomphante, elle sortit à Sean:

"Tu vois je ne suis pas seule. Et puis, si pour toi ne pas être seul c'est tripoter le cul plein de cellulite d'une gogo danceuse alors tu ne dois jamais avoir de moment solitaire."

La belle fixa Stella lors de sa tirade à l'encontre de son ex meilleure amie, elle acquiessa et reprit:

"Tout à fait raison Stel', cette triple idiote ne se rent pas compte qu'elle est encore plus coque que Britney lors de son mariage avec ce loser de Kevin. C'est dommage, j'ai presque pitié pour elle... J'ai bien dit presque."

Une fois sa phrase finit, la belle inspecta ses ongles vernis d'une couche épaisse noire avant découter atentivement Stella, qui lui proposait d'allaer voir ailleurs.

"Voyons... On pourrait rester ici pour contempler le couple le plus nian nian de l'année et leur faire valoir, martyriser la naine Wilson ou bien... Aller boire du champagne et se goinfrer de Caviar, j'en ai garder dans le frigo de l'appartement."

Olivia savait pertinemment qu’en parlant des vacances de Kimberlay, elle touchait une corde sensible chez la jeune femme puisque la jeune héritière Sanders savait que Kimberlay souffrait de l’ignorance que ses propres parents lui témoignaient et de l’amour ou plus exactement du non-amours qu’ils lui apportaient. Se disputer avec ses anciennes meilleures amies comportait l’avantage de pouvoir d’une simple phrase faire plus mal qu’elle n’aurait pus le faire en s’adressant à quelqu’un qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. En effet, les trois jeunes femmes étaient amies depuis le première jour de leur entrée à Waverly lorsqu’elles s’étaient rendues compte qu’aucuns des autres élèves ne pouvaient rivaliser avec leur classe, leur charisme et tout simplement la perfection qu’elles dégageaient à chaque instant de leur vie absolument géniales. Quoique la vie de Kimberlay était genre plus près du pathétique que du génial puisque celle-ci était tellement mal dans sa peau qu’elle se forçait à avaler qu’une feuille de salade par jour et à la régurgiter quelques instants après ce qui trahissait un mal être évident et comme nous le disions précédemment ses parents se fichaient complètement d’elle, la pauvre, on en viendrait presque à la plaindre non ? Olivia était donc certaine –comme toujours d’ailleurs, comme si Oliva Sanders n’était pas sur de ce qu’elle pensait, disait ou faisait :roll : - que bien que Kimberlay ait levé les yeux au ciel genre tout-ce-que-tu-me-dis-ne-me-touche-pas-le-moins-du-monde celle-ci souffrait de l’absence de ses parents et donc d’avoir dut passer ses vacances à Waverly. N’était-ce pas complètement ridicule d’ailleurs ? Ne savait-elle pas que les taxis existaient et qu’elle pouvait donc rentrer chez elle en simplement décrocher son téléphone ? Il semblait que non mais après tout cela n’étonnait pas vraiment Olivia, les capacités intellectuelles de Kimberlay étant carrément insuffisantes pour avoir la présence d’esprit de penser d’ appeler un taxi, tient encore une raison de plaindre cette pauvre fille, elle pourrait genre se présenter au livres des records et créer une catégorie du genre ‘ personne ayant le plus de raison de se faire plaindre’. Elle pouvait aussi se présenter pour celle de ‘personne la plus vulgaire’ tant sa tenue était digne d’une catin, après tout cela n’était pas étant venant d’une fille qui lors de la fête de début d’année qui avait eut lieu l’année précédente était arrivée en sous-vêtements digne d’un show de Victoria Secret cette marque de lingerie à la qualité douteuse qui essayait de faire parler d’elle en invitant lors de leur show justement des groupes définitivement has-been du genre des Spices Girl, le comble du mauvais goût. Bref, la n’était pas la question puisque Kimberlay s’était maintenant mise à parler de ses parents et de tout ce qu’ils étaient entrain de faire pour elle. Non mais regardez la, qui essayait-elle de convaincre la ? Elle même sans aucun doute. Personne n’était dupe sur les pseudos-occupations de ses parents qui remuaient ciel et terre pour leur fille. Ce que s’était risible de devoir mentir comme ça. Un sourire ironique s’afficha sur les divines lèvres d’Olivia après que Kimberlay est finie son petit monologue auquel elle répondit d’un ton froid.

Tu as raison, je ne sais pas ce que c’est d’avoir des parents qui travaillent puisque ils m’aiment tellement qu’au moindre de mes désires ils accourent aussitôt. Manifestement toi, tu ne connais pas ce qu’est des parents aimant. Elle adressa un petit sourire désolée absolument hypocrite a son ancienne meilleure amie puis reprit. En ce qui concerne ta poitrine je comprends parfaitement qu’il te faut trouver des avantages au fait de ne pas avoir été gâtée par la nature mais n’essaie pas de m’atteindre avec tes pseudos piques, c’en n’est plus ridicule qu’autre chose.

C’est alors que Stella fit son entrée. Parfait, il ne manquait plus qu’elle pour qu’Olivia s’amuse réellement. Stella fit alors une remarque complètement stupide sur le fait que Sean la trompait avec tout ce qui bougeait, ce qui était totalement faux et lui conseilla de surveiller Sara. Olivia leva les yeux au ciel, les phrases venimeuses marchaient lorsque elles étaient véridiques comme lorsqu’elle même enfoncer Kimberlay sur l’absence d’amour qu’elle recevait de ses parents mais affirmer des choses totalement fausses n’avaient aucun intérêt. Tout ce que venait de dire Stella n’avait donc aucun intérêt et le sourire mauvais qu’elle affichait était totalement ridicule. Olivia était vraiment déçue par la jeune femme, sérieusement elle n’était vraiment pas à la hauteur et cela faisait vraiment pitié à Olivia. Oui, que Stella tombe si bas lui faisait réellement pitié. Et bien, elle pouvait presque concurrencer Kimberlay pour la place dans le livre des records (a). N’estimant même pas que la jeune O’Connor était digne d’intérêt et donc digne que sa divine personne ne s’adresse à elle, Olivia s’appuya nonchalamment contre le torse de Sean qui venait de se rapprocher d’elle, un sourire satisfait accroché aux lèvres lorsque Kimberlay en remis une couche en s’adressant à Sean cette fois-ci d’une façon passablement vulgaire mais après tout cette pauvre fille l’était alors ce n’était pas vraiment étonnant. Un sourire malicieux aux lèvres Olivia répondit alors les yeux pétillants, ne pouvant s’empêcher d’insister encore sur l’absence d’affection que Kimberlay recevait.

C’est vrai que question solitude, tu t’y connais Kim.

Puis enchaîna, lorsque cette catin vulgaire doublée d’une anorexique pathétique fit une comparaison entre elle et Britney et pire, dit qu’elle était limite entrain d’avoir pitié d’elle, d’un ton cassant.

Garde ta pitié pour toi, il est clair que tu as a plus besoin que moi.

D’un regard indéniablement supérieur, elle détailla Kimberlay, de ses cheveux secs à la couleur plus qu’immonde, à ses chaussures d’un mauvais goût certain, en passant par sa robe de strip-teaseuse, puis plongea son regard bleuté pétillant dans le sien et eut un sourire en coin exprimant clairement combien ce qu’elle venait de voir la conforter dans ce qu’elle venait de dire. Olivia se désintéressant complètement de ces deux pétasses plus pathétiques l’une que l’autre, leva les yeux vers Sean pour observer la tête qu’il faisait. Non pas qu’elle est un doute quand à la fidélité de son homme, après tout il n’était pas du genre suicidaire, juste qu’elle avait envie de voir sa petite tête xD. C’est alors que Kimberlay reprit la parole, oui au grand dam de genre tout le monde mise à part Stella, pour encore dire des choses ridiculement stupides. Leva les yeux au ciel comme si Kimberlay était la fille la plus chiante à qui Olivia avait jamais parlé –ce qui était le cas- la divine héritière répondit

Me contempler est la chose qui te sera le plus facile puisque tu y emploie tout ton temps, peu précieux j’en conviens, à le faire depuis quatre ans. Quoique martyriser des personnes plus faibles que toi est une de tes grandes passions puisque celles-ci sont les seules à te craindre. Bien que je suis sur que Miss Wilson ne te craint pas non plus.

Elle adressa un sourire complice à la blondinette se trouvant toujours à leurs cotés puis reprit en se décollant de Sean.

Bon, ce n’est pas que cette conversation m’ennuie mais toi si, ainsi que toi. Elle darda son regard sur Stella. Quand vous aurez de nouveau préparé quelques piques à mon intention, revenez me voir en espérant pour vous que les prochaines soient moins ridicules que celles-ci.

Elle adressa un sourire du genre je-sais-que-vous-pouvez-le-faire aux deux jeunes femmes, le type de sourire réservée aux enfants essayant genre de faire du vélo mais se cassant la gueule à chaque fois puis leur tourna tout simplement le dos pour se retrouver face à Sean puis lui dit alors avec son éternel petit sourire en coin.

Et si on se cassait d’ici genre maintenant ?

Sans attendre sa réponse, elle lui pris la main et tous deux se dirigèrent vers le secrétariat, plantant ainsi les deux pétasses qui lui servant anciennement de faire valoir pas encore remises des dernières phrases qui leur avait lancé Olivia, les pauvres. Olivia adressa un sourire à Sara pour lui signifier que non, elle ne l'abandonné et que non elle ne la considérait pas du tout comme son larbin comme semblait le croire tout le monde. Olivia appréciait réellement Sara surtout car elle savait qu'elle n'allait pas lui faire une méga crise de jalousie en la voyant partir avec Sean contrairement à ce qu'avait fait les deux pétasses lorsqu'elles étaient encore amies. C’est alors que le regard d’Olivia s’arrêta sur un première année, assis sur le seul, les mains liés derrière le dos qui avait la chance de ne pas avoir les yeux bandés et qui semblait ne rien comprendre de ce qui se passait dans le hall. Les sublimes yeux bleutés d’Olivia s’écarquillèrent lorsqu’elle reconnut Aaron Hartley aka son protégé depuis toujours. Bordel qu’est ce qu’il foutait la ? Un sourire réellement ravie s’étira sur les lèvres d’Olivia et elle s’arrêta immédiatement puis se dirigea vers lui pour aller le sauver des dégénérés mental qui peuplaient cette école.

[ J’t’avais promis Ma’ n'a moi ]

Décidément tout s’enchaîné très vite. Si il y a bien une chose que Kaitlyn regrettait à présent, c’était de ne pas être rester chez elle avec ses parents devant un film bidon. Pfff, c’était déprimant de retrouver Waverly dans une telle ambiance. La blondinette regrettait déjà ses vacances. Elle regrettait le soleil, mer, enfin, tout ce qu’il y avait au maldives. Les balades en jet ski, les journées a flâner au soleil sur un hamac placé carrément à l’eau ou encore les deux masseurs trop sexy qui s’occupait d’elle. Kaitlyn avait passé le debut de ses vacances avec sa sœur et elles avaient été MA-GNI-FIQUE ! La blondinette soupira rien que d’y penser. Oh puis Carlos ! Carlos était un jeune espagnol que Kiki avait rencontré lors d’une activité « plongée sous marine » elle l’avait tout de suite adorée. Marrant, charmeur, intelligent. Parfait quoi ! Kiki ne s’en rendait même pas compte, mais un sourire béat c’était dessiné sur ses jolies lèvres couleur framboise. Si seulement elle était restée chez elle, elle n’aurait pas à supporter la dispute des ex-meilleurs amie de Waverly. Kimb et Olivia. Pour l’instant, les deux s’envoyait des réflexions bien cinglantes et Kiki se surpris meme à rire à quelque unes d’entre elles. Quelle hypocrisie. De les voir se descendre alors que l’année dernière elles étaient toute ma-cherie-prend-moi-dans-tes-bras-et-regarde-cette-ringarde-moquons-nous-ensemble avait quelque chose de particulièrement comique. De toute façon, les filles l’étaient en général lorsqu’elles se prenaient le chou. Elles étaient là, et gna gna gna et gna gna gna. Enfin, elles étaient toute chiantes à part Kiki, elle, elle réagissait presque aussi violemment d’un mec. Elle frappait sans chercher midi à quatorze heures. Fallait pas trop la chercher parce qu’on la trouvait très rapidement, si si jvous jure. Et ne vous fiez surtout pas a sa petite taille, elle cognait et elle savait comment s’y prendre. Un vrai petit garçon manqué. Après les jeux vidéo, c’était les baston qu’elle adorait. Nan mais j’vous jure !

En moins de temps qu’il le faut pour le dire, mademoiselle Stella O’Connor autrement dit « Madame-je-me-mele-de-ce-qui-ne-me-regarde-pas » fit son apparition. P’tain mais c’etait une habitude de copine d’arriver comme ça, comme si de rien n’etait pour venir faire chie rle monde ? Certainement. Kailtyn arqua un sourcil en voyant cette fausse blonde s’incruster dans leurs conversation et Sean et Elle. La blondinette prit un air faussement etonné tout a fait ravissant et repliqua avec un sourire imparable au bout des levres :

" Au mais tiens, c’est bizare, je ne me rappelle pas avoir prononcer ton nom dans la conversation pour que tu daigne nous donner ton avis…"

Le sourire de Kaitlyn s’accentua alors que cette trainé ² de Stella se plaça au coté de Kim et Olivia. Alors que Kaitlyn s’avanca legerement au coté de Sean (qui avait deja prit la par la taille Olivia) la blondinette crut haluciner en entendant la faible repartie de Kimberlay. Et dire qu’elle s’aimer. Oui oui, sa se voyait que cette pauvre rouquine s’adorait. Il n’y avait pourtant pas que quoi. Elle avait certe le corp (et encore elle etait beaucoup trop mince) mais rien d’autre. Si des mecs osait l’approchait, il ne fallait surtout pas se mettre en tete que c’etat a cause de sa beauté ou de sa gentillesse si vous voyez ce que je veux dire. C’etait a cause de ses cuisses bien ouvertes (je le dit quand meme). Ne dit on pas ; rouqu coquine coquine toujours facile ? (hj : ptain jsuis degueulasse mdr). Kaitlyn etait de toute façon persuadé que cette quatrieme année n’etait rien d’autre qu’une vulgaire trainée. Une catin. UNE WHORE !

Kaitlyn n’avait pas du tout envie de se prendre la tete le jour de la rentré et pourtant, elle avait cette desagreable sensation . Vous savez, quand on s’enerve tout seule, quand on se pause beaucoup de question, quand on se pince pour se demander si on n’ets pas en train de rever. Kiki n’avait rien a voir a tout ça mais sa l’enervait carrement que ces salle p*tasse parlent de cette façon de son cher ami Sean. Elle ne voulait pas prendre sa defense, elle voulait juste fermé le clapet à ses deux grande perches taillés comme les sardines du poissonier. Et vous pouvez etre sure que lorsque l’occasion se presentera, Kiki ne la laissera pas passer. La blondinette soupira et lança persuader que personne ne l’entendrait dans tout se bruit ambiant.

" De pire en pire et sa invente des liaison maintenant…Non mais j’vous jure ! "

La jolie cadette des Wilson soupira pour montrer combien elle etait exasperait par l’attitude des quatriemes années qui etaient censées etre un petit peu plus mature que ça. Bref elle regarda la scene avec un certain detachement. Et alors que la question « Qu’est-ce que je fiches ici ? » lui vint a l’esprit, cette garce de Kim’ prononça son prenom. Okay, la guerre etait declarer. Kaitlyn n’avait pas rever, elle avait bien dit « martyriser la naine Wilson » non mais pour qu’il elle se prennait. POUR QUI ELLE SE PRENNAIT, c’etait un très bonne question ! Kaitlyn n’avait qu’a souffler sur cette pimbeche pour que cette cone s’ecroule sur le sol ou qu’elle s’envole meme pourquoi pas. Vu son poid, elle n’avait pas interet a trop se la ramener si elle ne voulait pas que « La naine Wilson » lui casse un os. Nan mais frenchement, les garce se croyait tout permis et cela agaçait de plus en plus Kaitlyn. Il fallait qu’elle lui impose des limite et tout de suites si elle ne voullait pas se faire bouffer par la suite. De toute façon, vu le caractere de cochon de Kiki, il est clair que ce n’etait pas près d’arriver. Kaitlyn se retint de la gifler. Oui frenchement parce qu’elle en avait plus qu’envie. D’ailleurs elle ne savait pas combien de temps elle allait pouvoir se retenir. Il ets vrai que montrer de l’importance a cette carotte sur pattes n’etait pas très inteligent de la part de Kaitlyn mais bon, elle ne pouvait pas s’en empecher. Bien trop spontanée pour y reflechir a deux fois avant d’agir. Elle c’etait retrouver de nombreuse fois dans des situation de se genre ou elle cognait et se posait les question après une fois dans le bureau face au proviseur. Bon, cela ne lui arrivait pas tout les jours non plus, elle n’etait pas une terreur, il ne fallait pas confondre. Bref , Kaitlyn toisa avec un petit sourire en coin cette affreuse rousse avant de repliquer !

" Martyriser tu dis ? Mon dieu j’ai peur. Il faut dire qu’avec tes dix kilos tout mouillé tu fais vraiment très peur. Et dans tous les sens du termes.. " Toujours avec ce sourire irréductible au bout des levres, Kiki peris. " Tu es l’exemple même de la mégalomanie. Tu delire completement si tu veux mon avis. Nan mais tu t’entends, me martyriser. Comme si ne serait-ce qu’une seconde je pouvait avoir peur de toi. Enfin si, c’est possible mais ça à un tout autre rapport. C’est plutot tes taches de rousseurs qui m’effrayent. Tu te surrestime ma belle. Ma belle ? J’en reviens pas que j’ai reussis a te dire ça oui parce que ta qu’a te regarder tu est TOUT sauf belle. Bref, revenons en a nos moutons. " Kaitlyn eut un petit enfantin tout a fait RA-VIS-SANT. " Ton mouton…" . Elle designa d’un signe de tete Stella. " Vous devriez aller jouer a la Barbie maintenant. Bha ouiii elles sont matures. Puis ne fait pas lnguire la pauvre Stella. Elle vient de te supplier voyons ! "

Sean et Olivia c’etait deja eloigné, Sara etait egalement partie là, il ne restait plus que Kimberlay, Stella et Kaitlyn. La blondinette bailla tout en les regardant à tour de role

" Bon et bien....Kimberlay, Stella. Je vais vous laisser moi aussi.J'ai pas envie de vous regarder dans les blan des yeux et de prendre racines. Je serrai bien resté encore un petit peu mais vous etes...comment dire ?! Tellement ennuyeuses. Ininteressante. Voila, c'est le bon mot.. "

Kaitlyn leur fit un faux sourire avant de tourner nes talons et de s'en aller vers la bataille d'oeufs. Elle faisait là une sortie en beauté, la tete bien haute. Bon, il est vrai qu'elle avait manqué a plusieur reprise de tomber a cause du sol glissant (eh oui les oeufs !) mais elle faisait attention quoii. Elle croisa ses bras tout en regardant le spectacle qui s'offrait a ses yeux, elle n'avait pas interet a recevoir UN SEUL OEUF, sinon celui qui l'aura viser se souviendrait d'elle. Elle etait bien assez sur les nerfs comme ça..

Haaa l'été est déjà finis... Et merde! Désolé de l'incivilité mais elle va si bien avec la situation. C'est vrai quoi, Brad se plaisait bien à draguer toutes les jolies minettes sur la plage, à faire la fête puis bien sûr le sport en chambre (a). Roh vous en faites pas il s'est aussi entraîner au basket pour être toujours au point à la rentrée. Mais en parlant de vacances, qu'est ce qu'il a fait? Les Bahamas! Rah c'était obligé il devait y aller cette année. De merveilleuses vacances malgré le fait que pour une fois en beaucoup d'années, il ne les a pas passées avec Anthony. Hé oui, figurez-vous que les deux meilleurs amis se sont disputés car Brad a découvert le secret qu'Angela lui cachait tant: Cette garce l'a trompé avec son meilleur ami! Non mais franchement, faire sa à Brad faut en avoir du courage hein! Quelle fille oserait le faire cocu, il a tout, c'est un terrible canon (a) et puis bon il assure en petit ami quand même hein, prétentieux? Rah oui. Mais bon il a donc de suite quitté Angie et s'est prit la tête avec Anthony ce qui fait qu'il a passé ses vacances à la mer avec un cousin à lui, ce qui change. Il ne s'est pas autant amusé que les autres vacances puisqu'il manquait une personne qui, faut l'avouer, est important à la survie -carrément xD- de Brad. Mais ne croyez pas non plus qu'il a passé son été à déprimer comme un malade, bien au contraire! Il a enchaîné les fêtes et même les filles... Il profite de sa liberté à présent. Il a été prit pour un con par son ex petite amie qu'il aimait et à présent il sait très bien qu'elle va tout faire pour le récupérer mais il ne fera pas la même erreur deux fois: Angela Turner c'est du passé mais bon maintenant faut-il réussir à s'en débarrasser, elle lui colle aux basques et arrête même ses conneries pour retourner avec lui. Au pire il pourrait la mettre encore une fois dans son lit parce qu'elle est un sacré bon coup mais il n'y aurait rien de plus. Rah salaud non? Et pourtant c'est ce côté qui attire le plus de filles. Donc je disais, de belles vacances oui mais maintenant c'est la rentrée et il faut vraiment se réveiller et redescendre sur Terre, finit le paradis, bonjour l'académie...

Un petit rayon de soleil se glissa entre les volets pour pénétrer dans la chambre sombre de Brad. Son père entra dans sa chambre en lui criant qu'il va être en retard, puis hop il enleva la couette qui recouvrait entièrement le beau Brad en boxer. Rah il fait froid! Le jeune homme se mit en boule et resta bien dans son lit douillet. Son chère papa employa donc les grands moyens, il souleva avec beaucoup de difficulté le lit d'un côté pour que Brad se casse la tronche de l'autre côté. #PAF# Sa marche! Jeune homme McGregor se retrouva par terre, il soupira et se tapa le front, puis, quelques instants plus tard on entendit un cri assez grave dans toute la maison McGregor... Le père de Brad venait d'ouvrir le volet de son fiston ce qui éclaira entièrement la chambre. Mon dieu pourquoiiiii c'est la rentrée! Regardant l'heure, il se pressa de déjeuner, de prendre sa douche, de se préparer -jean Calvin Klein et haut Eden Park- puis il s'empara de ses valises, dit au revoir à toute la petite famille et se rendit à la Waverly Academy dans son grand cabriolet noir.

Bon sang, sa n'a pas changé, enfin logique en deux mois! C'est grand, c'est beau, c'est l'académie la plus chère et la plus réputée et aussi celle où l'on s'éclate certainement le plus. Enfiiiin il est chez lui. En entrant dans le grand hall, il se rendit à l'accueil pour obtenir la clé de sa chambre. Il est dans la n°1, avec Anthony, Nate et Tom. Parfait pour lui. Il se dépêcha d'aller déposer ses valises au campus pour ensuite revenir. Le bizutage à l'air d'être commencé depuis longtemps puisqu'à présent, c'est une bataille de bouffe et de mousse à raser. Il observa le tout et surtout les nouveaux élèves. Rah vraiment pas mal les petites nouvelles! Encore mieux que celles de l'année précédente. Un sourire malicieux s'afficha sur ses lèvres puis avec sa démarche tel un mannequin -homme bien sûr mdr- marchant sur le podium, il se dirigea vers ses connaissances, c'est à dire tout le monde sauf les nouveaux. Hé oui c'est sa de s'appeler Brad McGregor, on connaît tout le monde, on s'entend avec tout le monde. Il dit donc bonjour à Brooke, Kaitlyn -il n'hésite pas à lui faire un petit clin d'oeil charmant-, Chuck, Beth, Helena, Olivia, Eleanor, Ryan, Sean, Lindsay, Jessica, Enzo, Nikkie, Sara, Kimberley, Stella, Kevin et Zoey, bref la lsite est déjà bien longue et il en manque beaucoup -il n'est donc pas en retard-, bien sûr il se dirige au final vers son meilleur ami Anthony a qui il a déjà pardonné et sa chérie prénommée Faith -Dommage qu'elle soit prise par Antho (a) mais bon il reste toujours la petite soeur (a)-. Il serra dans ses bras Antho mais d'une façon classe et "virile" quand même hein, avec les bonnes tapes dans le dos puis il le regarda, tapa la bise à Faith et prit la parole:

- Alors Anhtony ses vacances? Rah faut que tu me raconte TOUT mec, obligé. Désolé Faith je vais occuper ton homme pendant un moment! Ha au fait Kiki a bien changée depuis l'année dernière... Enfin tu vois ce que je veux dire... C'est une femme très bonne... CHARMANTE!

*Canon. Avec une belle paire de fesses et une magnifique poitrine (a) Je la ferais bien inaugurer mon lit* Pensa le petit pervers. Rah à peine arrivé, il repère déjà! Et puis à peine arrivé et il enterre déjà la "hache de guerre" avec Anthony. C'est pas une fille qui peut briser leur amitié, ils sont comme des frères.